Aujourd’hui, je vais vous parler d’un autre livre d’Estelle Faye, Porcelaine. L’auteure a écrit La voie des Oracles et les Seigneurs de Bohen.
J’ai lu la version publiée en poche en septembre 2016 chez Helios .
Chine, vers l’an 200. Xiao Chen est un comédien errant, jeté sur les routes par un dieu vengeur. Un masque à forme humaine dissimule son faciès de tigre, tandis que son cœur est de porcelaine fêlée. Son voyage va durer plus de mille ans. Au cours de son périple, il rencontrera Li Mei, une jeune tisseuse, la Belle qui verra en lui plus qu’une Bête. Celle qui, sans doute, saura lui rendre son cœur de chair. Cependant Brume de Rivière, fille-fée jalouse et manipulatrice, intrigue dans l’ombre contre leur bonheur.Pendant presque quinze siècles, rivalités et amour s’entrecroisent, tissant une histoire de passion, de tendresse et de sacrifice, sur fond de magie et de théâtre.
Un histoire magnifique, une écriture splendide, un roman qui nous transporte.
J’ai lu ce livre après avoir commencée la trilogie La voie des Oracles . Le résumé ne me tentait pas, mais je voulais retrouver l’écriture d’Estelle Faye. Et ça a été une magnifique lecture. Ce livre tient toutes ses promesses. L’auteure nous emmène dans la Chine d’il y a quelques siècles pour un splendide récit semblable à un conte.
Estelle Faye nous transporte dans un conte doté d’un homme à tête de tigre, d’une tisseuse aux mains d’or et d’une fée aux pouvoirs impressionnants. Ce sont des personnages en dehors du monde, vivant du théâtre. Leurs défauts sont humains ; jalousie, envie et lâcheté.
L’écriture poétique se met au service de ce conte et sublime cette histoire d’amour et de vengeance.
Amélire en rouge 